

[English]He’s there, lying on the bed. Motionless. Useless. ..
Added 2025-04-27 19:06:47 +0000 UTC[English]
He’s there, lying on the bed. Motionless. Useless. Locked up.
I’m having fun.
As a strong, independent woman, I twerk on his face, as if to reaffirm once again the place each of us holds in our relationship.
He doesn’t move. He doesn’t even dare breathe too loudly, afraid to disturb my rhythm.
The little blue cage is there, constantly reminding him that he’s good for nothing except entertaining me.
The difference between us is glaringly obvious: he’s reduced to nothing, trapped in his ridiculous little blue cage.
And me... I celebrate this power, this contrast.
I’m here for myself. For my pleasure. For my amusement.
He’s just an accessory beneath me, a pedestal for my shine, a living reminder of who commands and who obeys.
And the worst part for him?
He loves it. Being there, powerless, crushed by my indifference as much as by my curves.
He can’t do anything except endure, admire, and feel utterly insignificant… trapped in his frustration.
And I laugh. Because this is exactly how I love him: in his place.
In this exact moment, everything between us is crystal clear.
There’s no balance, no negotiation: only my will imposed upon his helplessness.
And he wouldn’t want to be anywhere else.
Not free. Not dominant.
Just there, captive and invisible under the brilliance of my pleasure.
[Français]
Il est là, allongé sur le lit. Immobile. Inutile. Enfermé.
Moi, je m'amuse.
En femme forte et indépendante, je twerke sur son visage, comme pour affirmer encore une fois la place de chacun dans notre couple.
Il ne bouge pas. Il n’ose même pas respirer trop fort, de peur de troubler mon rythme.
La petite cage bleue est là pour lui rappeler chaque seconde qu’il ne sert à rien, sauf à me divertir.
La différence entre nous est flagrante : lui est réduit à rien, dans sa petite cage bleue ridicule.
Et moi... moi je célèbre ce pouvoir, ce contraste.
Je suis là pour moi. Pour mon plaisir. Pour m’amuser.
Il n’est qu’un accessoire sous moi, un support pour mon éclat, un rappel vivant de qui décide et qui obéit.
Et le pire pour lui ?
Il adore ça. Être là, impuissant, écrasé par mon indifférence autant que par mes formes.
Il ne peut rien faire, à part subir, admirer, se sentir minuscule… enfermé dans sa frustration.
Et moi, je ris. Parce que c’est exactement comme ça que je l’aime : à sa place.
À cet instant précis, tout est parfaitement clair entre nous.
Il n'y a pas d'équilibre, pas de négociation : juste ma volonté, imposée sur son impuissance.
Et il ne voudrait être nulle part ailleurs.
Ni libre. Ni dominant.
Seulement là, captif et invisible sous mon plaisir éclatant.